12 - 1
Pour la compréhension du tableau (Recherche films)


L’idée de conserver les films, afin de les préserver pour la postérité, ou tout simplement en disposer quand bon nous semble, est presque aussi ancienne que le cinéma lui-même.

C’est ainsi que dès 1898, 2 ans seulement après la projection du premier film (vraisemblablement par Boleslaw MATUZEWSKI, opérateur oeuvrant pour LUMIERE), était émise l’idée d’un musée cinématographique.



Les frères lumières

Voyage dans la lune : George MELIES

Certes, il s’agissait plus de préserver un patrimoine qui deviendrait historique, mais la fibre vivace du collectionneur transparaissait peut-être déjà au travers de cette proposition.

Depuis, les supports ont évolué, réduisent considérablement les volumes nécessaires, et facilitent la projection privée (plusieurs bobines jusqu’au début des années 70, puis K7 vidéo, et enfin D.V.D., avant la sortie peut-être d’un nouveau standard).

De fait, chacun peut collectionner à loisir, et le nombre de fanatiques augmente un peu plus chaque jour.

Comme précisé en début du présent ouvrage (site) , la production mondiale est telle, que même dans un thème donné, il serait impossible pour un passionné, s’y consacrant corps et âme, de tout voir ne serait-ce qu’une seule fois dans sa vie.

De plus, tous les films, sont loin de comporter des caractéristiques dignes d’intérêt quelconque, et nombre demeurent même indigestes quelquefois. Qui n’a pas déjà visionné un film, à grande vitesse, afin de l’effacer après une difficile et fastidieuse projection pourtant accélérée ?

Tous ne sont pas non plus forcément connus à ce jour, et certains mériteraient de l’être, mais sont encore introuvables dans un pays resté longtemps réfractaire au genre fantastique, la France, en l’occurrence.

Ainsi, de nombreux films Mexicains, Japonais, d ’Hong-Kong ou des pays de l’Est, demeurent dans l’oubli, pour le moment du moins, espérons-le.

Dans ce dédale de films, télé-films, courts-métrages, et dessins animés, il convenait donc de faire un choix.

La liste qui va suivre est par conséquent loin d’être exhaustive, et ne comporte pas la totalité , loin de là , de la production mondiale . Mais les principaux y sont, proches de 93à 98 % des films connus ou dignes d’intérêt.

Un nombre important d’oeuvres cité dans ce livre, ont déjà fait l’objet d’approches plus fouillées dans d’autres chapitres.

Les renseignements qui sont à cet effet apportés ci-après en complément sous forme de tableau, permettent d’affiner le choix , qui conduit ou non à voir le film, et surtout de savoir déjà qu’il existe, et donc peut-être de le rechercher, ou de l’éviter au contraire.

Est-ce que le fondement même de l’existence du collectionneur, n’est pas avant tout d’être en quête de l’introuvable, pour enfin l’obtenir, le savourer, puis le ranger afin que la mémoire s’estompe quelque peu, pour un jour le ressortir, et le contempler à nouveau.

Notons enfin, et cela sera peut-être préjudiciable un jour à ce type de développement de passions , que des banques de films apparaissent, notamment en Angleterre, et qu’il sera bientôt possible de choisir le film souhaité, au moment voulu, et cela sans aucun effort de déplacement physique ni de recherche, le tout étant stocké dans un appareil central, et distribué via les satellites. Tout à la portée de tous (§ 9-13-les domaines cinématographiques à venir)

La cinémathèque, vidéothèque et DVDthèque auront alors vécu.

Méthodologie/Signification

TITRES : Titre du film – La première colonne indique en premier, le titre français le plus usité du film : s’il est : a) Français ou de pays francophones,
b
) en version Française ou
c
) sous-titré, dans sa forme la plus connue.

S’il n’a pas fait l’objet de large diffusion en France, et qu’il demeure souvent en version originale non sous-titrée, le titre premier sera souvent présenté dans sa langue d’origine.

Dans les deux cas, si le film est connu sous un deuxième titre, et sous réserve de la place disponible à l'origine dans la première colonne (il s'agit en effet d'un tableau Excel transformé en banque de donnée Access ) , celui-ci est également indiqué.

L’utilisation de l’Anglais n’est pas de fait systématique. Si le titre français est connu, et en tous cas vulgarisé, il sera préféré au titre anglais ou original, même si seule la parution en vidéo-cassette ou DVD, a popularisé le titre.

Notons également que trois, voire quatre titres peuvent de ce fait vous être proposés,et que tous sont intégrés dans le lexique alternatif de fin d’ouvrage.

Quelques titres peuvent être en langue Française, mais tirés de la traduction qu’en ont faite nos amis Belges, apparemment plus en avance que la France, en ce domaine. Des différences peuvent, dans ce contexte aussi, apparaître.

Ordre alphabétique : c’est celui proposé par les logiciels compris dans les tableurs informatiques, ainsi :

- les chiffres sont toujours mis avant les lettres, le programme se chargeant de les classer dans l’ordre croissant, qui n’est pas celui de la valeur du nombre, tous chiffres confondus (ainsi 1984 sera avant 20 000 lieux sous les mers)

A cet effet, seuls les titres couramment indiqués par un nombre, seront présentés tels que 1984, 2010, 4,3,2,1, opération lune...

- l’espace est considéré comme situé avant la lettre « A » (A des millions de kilomètres de la terre, précède donc Abattoir 5). De même, le point « . » précède toujours une lettre (M.A.L. devance donc Ma belle mère est une sorcière).

Les articles « le », « les », « la », « l’ » (exhaustivement), sont toujours placés après le premier mot principal du texte, qui les suit [Ex : abominable Docteur PHIBES (l’)]. Ce choix a été délibérément effectué, et demeure très facile à se rappeler, (donc à appliquer) . Il fut fait en raison du grand nombre de titres (donc de noms communs ou de noms propres), commençant par ces articles.

Par contre, « du », « des », « un », « une », « je »....seront placés alphabétiquement en tête du titre.

La règle sera la même pour les titres en langues étrangères, ce qui ne manquera pas de poser quelques problèmes afin de peut-être s’y retrouver, y compris à votre serviteur . En général, les syllabes « courtes » représentent un article placé entre parenthèse, et en fin de titre.

L’écriture en MAJUSCULE permet de faciliter la lecture, pour des caractères dont la taille a déjà été réduire, afin d’optimiser le degré de remplissage de chaque cellule du tableau ( tableur Excel à l'origine ).


En cas de problème, tout a été prévu, et un lexique général reprend complètement tous les titres, des deux colonnes du tableau, en donnant la correspondance croisée.

Tous les titres (hors films français) ne bénéficient pas néanmoins de deux titres, et le tableau ne demande à cet effet qu’à être complété. Il le sera au fil du temps, lors de parutions dont la forme est à affiner avant mise en oeuvre.

En tout état de cause, la quasi totalité des films Français ou francophones n’auront qu’un titre, celui de notre langue maternelle.

* : veut dire que le film est non fantastique, mais il fut maintenu dans le tableau, en raison de la participation des maîtres du fantastique, et notamment Boris KARLOFF, Bela LUGOSI ou Vincent PRICE, ou en raison des qualités indéniables de l'oeuvre ( techniques, d’interprétation... ) , ou par la beauté de ses couleurs (Ex. Les aventures de Robin des Bois).

Malgré toute la vigilance nécessaire à l’établissement du fichier, il est probable que des redondances de films s’y soient immiscés, notamment en raison de la sortie des films sous de nombreux titres différents. N’hésitez pas à faire part de vos observations, elles seront également prises en compte.


Voici d’ores et déjà quelques films , dont les renseignements connus permettent d'avouer que soupçons il y a, sans en être totalement sûr, pour ne pas avoir pu visionner l’ensemble des films cités :

  • Brain et La vengeance du Dr. CORRIE
  • Cyborg rage et Dark future
  • Bestia del crepusculo et Espectro de Justine
  • Starkid et Theo, mon ami robot
  • Hundra et Yellow hair
  • Tous les biens de la terre et L’homme qui vendit son âme.
  • Killer dead et twisted souls
  • Falling fire et Hydrosphère
  • Angst et Schizophrenia
  • Teufelsbett et Die woelfin von teufelsmoor
  • Brides of blood et Le Médecin dément de l'île de sang
  • Cat et Les yeux de la jungle
  • Star kid etThéo, mon ami robot
  • Espectro et Mas al fin del mondo
  • Classe spéciale et cybereden
  • Le Médaillon maudit et Emilie, l’enfant des ténèbres
  • Hundra et à la poursuite du soleil d’or
  • Vampire rose et Evil of Dracula
  • Morsure et Morsures mortelles
  • Le château de Frankenstein et Il castello dell’orore
  • Le premier pouvoir et Pentagram
  • La chasse aux morts vivants et Final executer
  • The velvet vampire et The making hour
  • Les sorcières du bord du lac et Las crueles
  • Dimension de la mort et Cinderella 2000
  • Cosmo 2000, l’invasion de gli extracorpi et Cosmo 2000, pianeta senz anome
  • Docteur Satan et The split
  • Frankenstein conquiert le monde et Dagora , the space monster
  • Wraith et Turbo interceptor ...ETC...


G : Genre – Celui-ci fut longuement développé lors du chapitre 8-5.

Rappelons que le genre n’est pas à confondre avec le thème.

Chaque genre a été repéré avec deux lettres, facile à se rappeler (FA = fantastique, SF = science fiction), mnémoniquement (de Mnémosyne, mère des Muses et déesse de la mémoire– la mythologie est bien partout).

Deux sont en général indiqués, afin de donner le plus de renseignements possibles, sur le contenu du film. Le premier cité, est celui prépondérant dans l'oeuvre (Ex. SF – FA ® plus science-fictionnel que fantastique).


A : Année – C’est celle de la première parution. Une année de décalage est souvent admise en général, surtout quand le film chevauche d’une sur l’autre, bien que les firmes indiquent elles-mêmes très exactement l’année de réalisation.

D : Durée – C’est celle mesurée en général au visionnage, et à défaut celle relevée par différentes sources. Elle est donc indicative, et peut être précise à une minute près, ou comporter quinze minutes d’écart par rapport à ce que vous pensiez, ou à la version que vous possédez.

Tout en souhaitant être assez précise, c’est néanmoins une durée approximative, qui peut permettre de ne pas trop se tromper dans le choix de la durée du support d’enregistrement, ou de savoir pendant combien de temps environ, vous allez vous délecter, ou à contrario vous ennuyer.

C : Procédé couleur – La couleur est indiquée par la lettre « », de même que les films colorisés. Tout film antérieur à 1933, portant la mention « C », est forcément colorisé. Le Noir et Blanc est mentionné par la lettre « N ».


P : Pays – Ils sont indiqués par un abrégé d’une ou deux lettres. Ces raccourcis de présentation jalonneront lesrecherches de données , et permirent d'entrer un grand nombre de renseignements à l'origine (tableur Excel ) sur une espace condensé. Pour les co-réalisations, seul le pays prépondérant sera mentionné.

A noter que ces raccourcis le sont à partir du nom du pays en français , toujours dans la logique transversale (site en langue française) . Ainsi EU (Etats Unis ) aura été préféré à USA (United States of America ) .

Abrév.
PAYS
Abrév.
PAYS

AF
AFRIQUE DU SUD
IS
ISLANDE
AL
ALLEMAGNE (S)
IT
ITALIE
AN
ANDORRE
JA
JAPON
AR
ARGENTINE
LU
LUXEMBOURG

AS

AUSTRALIE
MA
MALAISIE
AU
AUTRICHE
ME
MEXIQUE
BE
BELGIQUE
NO
NORVEGE
BO
BOLIVIE
NZ
NOUVELLE ZELANDE
BR
BRESIL
PB / HL
PAYS BAS
CA
CANADA
PH
PHILIPPINES
CL
COLOMBIE
PO
POLOGNE
CO
COREE
PR
PORTUGAL
CU
CUBA
PT
PORTO-RICO
DA
DANEMARK
RU
RUSSIE (ou Ex U.R.S.S.)

ES

ESPAGNE
SI
SUISSE
EU
ETATS UNIS D’AMERIQUE
SN
SINGAPOUR
FI
FINLANDE
SU
SUEDE
FR
FRANCE
TA
TAIWAN
GB
GRANDE BRETAGNE
TC
TCHEKOSLOVAQUIE
GR
GRECE
TH
THAILANDE
HK
HONG KONG
TU
TURQUIE
HO
HONGRIE
VE
VENEZUELA
IN
INDE
YO
YOUGOSLAVIE
ID
INDONESIE
   

I : IntérêtCelui-ci tentera d’être objectif, tout en ne l’étant pas. Ceci pour deux raisons principales.

  • Ce qui fut un « navet » à l’époque, peut très bien devenir un film culte plus tard, et le temps faisant que ... (Plan nine from outer space)
  • Il convient de toujours transposer le film au moment de sa réalisation, en fonction de la technologie de l’époque, mais aussi du « courant » y régnant.

La classification est alors ainsi proposée :

0 – Zéro pointé. Ne perdez pas votre temps.
1 – Film à contourner. Il y en aura très peu dans cet ouvrage (ce site ) . Evitez de dilapider votre temps.
2 – A visionner quand vous aurez le temps.
3 - A regarder dès que vous aurez le temps.
4 – A savourer impérativement. Prenez vite le temps.
5 - Chefs d'oeuvres incontournables – A ne manquer sous aucun prétexte – A déguster de suite, puis de temps en temps.

Ces propositions s’appliquent dans le genre FANTASTIQUE / SCIENCE FICTION, qui, comme chacun sait, ne bénéficie que très (trop) rarement d’une critique favorable. Les côtes seraient dans un autre contexte à diminuer globalement d’un, voire deux points pour certains.

Mais tel n’est pas le cas dans cet ouvrage(ce site) , consacré aux inconditionnels.

S : Sociétés de production ou de distribution – Elles seront représentées par des abréviations, que le tableau ci-dessous récapitule. Beaucoup manquent pour le moment, et feront l’objet d’ajouts ultérieurs. Il n’a pas été permis, dans l’espace disponible, de distinguer producteur et distributeur. Un seul a pu être indiqué, et choisi en fonction de sa notoriété, ou des renseignements disponibles.

FIRME/MAISON DE PRODUCTION
Abrév.
FIRME/MAISON DE PRODUCTION
Abrév.
FIRME/MAISON DE PRODUCTION
Abrév.

A BON
ABO

ELAN
ELA

POLYGRAM
POL
ABC
ABC

ELYSEE
ELY

PRC
PRC
ABEL FILMS
ABF

EUROP
EUR

PROGRES
PRO
AMERICAN INTERNATIONAL PICTURES
AIP

EXCELSIOR
EXC

RANK
RAN
AMERICAN INTERNATIONAL
AI

EUROP FILM
EUF

REPUBLIC
REP
ALFA
ALF

F VAN LO
FVL

RKO
RKO
APOLLON
APO

FAMA
FAM

ROSSEL
ROS
ATLANTIC
ATL

FILIMPEX
FIL

ROYAL
ROY
ATLAS
ATA

FILM SONOR
FIL

SBDC
SBD
BAC FILMS
BAC

FILMS 31
F31

SEDEF
SED
BELGA
BEL

FOX
FOX

SEWELL
SEW
BENELUX
BEN

GAUMONT
GAU

STANDARD
STA
BIFO
BIF

GD
GD

STELLOR
STE
CBS
CBS

HORIZON GROUP
HOR

TITANUS
TIT
CCB
CCB

IBIS
IBI

TITANUS
TIT
CED
CED

IMAGE FILMS
IMA

TOHO
TOH
CENTRA
CEN

IMPERIAL
IMP

TRANSIT
TRA
CENTURY
CET

INDEPENDANT
IND

TRI STAR
TRI
CIC
CIC

INTERNATIONAL
INT

TROMA
TRO
CINE CITA
CCI

LER
LER

TWENTHIEF CENTURY-FOX
TWE
CINE LIBRE
CIL

LIBERTY
LIB

UA
UA
CINE VOG
CIV

LUXOR
LUX

UGC
UGC
CNC
CNC

MELIOR
MEL

UIP
UIP
COBELCINE
COB

MERCURY
MER

UNION
UNO
COGECINE
COG

METROPOLITAN
MET

UNITAS
UNT
COLUMBIA
COL

MGM
MGM

UNITED ARTIST
UNA
5 CONTINENTS
5CO

MONOGRAM
MOG

UNIVERSAL
UNI
CORONA
COR

MONOPOL
MON

VB FILM
VBF
COSMOPOLIS
COM

MPA
MPA

VDS
VDS
COSMOS
COS

MPG
MPG

VENUS
VEN
DASKA
DAS

OBF
OBF

VESTRON
VES
DECO
DEC

OCCIDENTAL
OCC

TROMA
TRO
DISCIBEL
DIS

OPTIMA
OPT

VICTORIA
VIC
DRAGON
DRA

PATHE
PAT

WARNER BROS
WAR
DREAM WORLD
DRW

O.R.T.F.
ORT

WALT DISNEY
WAL
E DE JONG
EDJ

OSSO
OSS



EFCE
EFC

PARAMOUNT
PAR






PARDON
PAD




Acteur principal – En général, il ne peut y avoir d’ambiguïté quant au choix, un des personnages « crevant », souvent l’écran, même si ce n’est pas toujours celui auquel pensait le cinéaste ou le responsable du casting. Le nom en parenthèse ( ) indique qu’il s’agit d’un narrateur, ou de tout autre procédé, mais aucunement d’un acteur vu à l’écran.

Autres acteurs – Il s’agit des « premiers seconds rôles », en général, incontestables, mais le débat peut toujours être ouvert à ce sujet, ou des « co-acteurs principaux ». Deux sont en général donnés, trois voire quatre, si la somme des lettres prénom plus le nom est assez basse ( Rappel : conception sur tableur à l'origine).

Réalisateurs – Il peut être double quelquefois , voire plus , mais un seul réalisateur est en général cité dans ce tableau . Le nom indiqué, est en général celui le plus connu, après quelques films pour certains, de manière à immédiatement le mémoriser. Un tableau non exhaustif donne quelques correspondance, auteurs compris, à la fin de ce chapitre( § 12-4 )


Thèmes – Il fut longuement réfléchi avant de savoir s’il convenait d’inclure cet élément dans le tableau, puis il fut décidé de le laisser. Pourquoi ?

Si en effet, le chapitre 10 a très longuement développé ceux-ci, il n’est pas possible d’un seul regard, de savoir si un film dont nous connaissons le titre, fait partie de tel ou tel thème.

Remémorons-nous également que certaines oeuvres peuvent comporter cinq voire six thèmes ou plus, preuve de richesse du film, ou d’un scénariste qui n’est pas arrivé à trouver un fil conducteur.

Cette colonne permet par contre, d’un seul coup d'oeil, de caler correctement le titre sur un style donné. C’est ce qui correspond au développement que nous trouvons dans les revues spécialisées, mais résumé à quelques mots, ce qui constitue une prouesse, avec toute l’indulgence que requiert cet exercice de style.

Les abrégés furent de fait quelquefois obligatoires, mais ils demeurent très faciles à mémoriser. Ils correspondent très exactement à ceux développés déjà, en début de chapitre 10. Ils ne seront donc pas rappelés.



QUELQUES PONCTUATIONS AYANT UN CARACTERE DE CODE PARTICULIER

? : indique l’incertitude (sauf quand il est dans le titre du film, où il fait partie intégrante de celui-ci).

Italique
: constitue une indication, pour le titre du film, mais ne fait en aucun cas partie de celui-ci.

( ) : indique une fausse indication (Ex. : ( Vampire ) ->FAUX VAMPIRE EN FAIT, ou indique, pour la colonne "acteurs" , qu’il s’agit en fait des voix-off (narrateur de films d’animation...)

-> : précise que deux éléments sont liés, dans les thèmes (Ex. : MUTATION-> CHIEN )

~ : indique une similitude, sans être reconnu comme totalement exacte ou identifiée.

- : relie deux mots, dans les genres, étroitement en corrélation.